Eugène Cristophe & les Escapades d'Eugène

A propos

les escapades d’Eugène

Naissance « les escapades d’Eugène » 

Six années durant, j’ai organisé Le grand Ride Rétro Ardennes. Chaque joli mois de mai, de 2011 à 2016, je concoctais pour mes amis et tous mes compagnons de cyclisme deux journées de vélo à l’ancienne le long de la Meuse.

Au menu, plaisir d’être ensemble, sur de vieux biclous aimés, avec dans la musette de quoi casser la croûte en famille.

Comme Eugène délaissant ses serrures et verrous le temps d’une course, je me délassais de mon métier de prothésiste-dentaire…
en vérifiant le nombre de dents idéal pour que pignon et plateau de mon single speed fabriquent un développement parfait.

Aujourd’hui, passionné de nature et de vélo depuis toujours, je décide de me lancer dans une aventure entrepreneuriale aussi excitante que la quête d’un col de montagne, convaincu qu’il est possible d’apporter à tous les amoureux de la nature et du vélo un souffle de fraîcheur en leur faisant partager mes contemplations lors de mes escapades vélocipédiques.

Faire les choses à ma façon, de manière authentique et précise… Je ne prétends pas avoir d’idées révolutionnaires, mais la vision d’un monde qui serait à l’avenir  plus propre, plus vrai, plus humain, plus proche.

Pour ce faire, quel meilleur moyen que

 le parcourir à vélo

Hommage

Eugène Christophe

Eugène Christophe, alias « le vieux Gaulois » (1885-1970),

Est sans doute le personnage le plus attachant du vélo des origines, une sorte de Poulidor avant l’heure : de la TNT plein les jambes et une guigne à pleurer.

On l’a vu descendre 14 km le long des pentes du Tourmalet en portant son vélo brisé, puis réparer lui-même sa fourche dans la petite forge pyrénéenne d’un certain Joseph Bayle et terminer l’étape quatre heures après les premiers… 

Tour de France 1913 perdu, mais naissance d’un mythe.

Ce héros à l’endurance de chameau, populaire mais poissard des Tours de France d’antan, fils de concierges, serrurier au civil, connut l’insigne honneur de recevoir le tout premier maillot distinctif du leader, en juillet 1919 

(il finira troisième à Paris). 

Naissance du maillot jaune.

Sans doute Eugène était-il, dans sa nature profonde, l’anti-héros par excellence : 

c’est-à-dire en fait un vrai héros, à la poursuite d’une quête infinie et non pas seulement d’une breloque ou d’un « palmarès »

Eugène aimait les escapades